Miguelanxo
Prado, Casterman 2002.

Graphiquement,
c'est vraiment un très bel album. Nombreuses pages recèlent de
cases qui se suffisent à elle-mêmes. L’œil s'arrête souvent à
une courbe de silhouette, à un regard où 0à la couleur d'un ciel. L'ensemble est soigneusement découpé, élégamment équilibré, la trame narrative naît par le dessin. Dès l'exergue, le lecteur est mis en garde - une
citation de Borgès, l'histoire est mystérieuse. Des marins en
escale, sur une île presque silencieuse, se cherchent, se
rencontrent et se cognent. La lecture questionne l'interprétation, et
l'interprétation donne sens...
A
découvrir...
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