1980, édition Fata
Morgana, 2004.
Le
titre a forcement accroché mon regard....L'auteur a retenu mon
attention... Etrange petit texte ici, poème en prose ? Essai ?
Qu'importe la classification, le contenu interpelle. Parler d'une
chose dont «on ne sait pas précisément ce qu'il est» : le
Poltergeist. Partir de phénomènes étrangement surnaturels pour se
retrouver en dedans d'êtres mystiques. Ironie s'en mêle?
Tiraillement, dérangés, tourments. Au détour d'un paragraphe,
Michaux trouve, dans la vie, primordial le problème «de la prise
en charge de son être». Et là, subrepticement, reviennent ses mots, ceux d'un autre
de ses poèmes «Agir, je viens ».
«Tout de même, les jeux, n'est-ce pas (au début) la plus fondamentale (et pour finir) la plus indestructible peut-être des occupations ?...La compulsion de répétition, voilà qui y ressemble joliment aussi» (p.21)
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