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dimanche 19 mai 2013

l’Étranger

D'après l'oeuvre de Camus, Jacques Ferrandez, Gallimard, 2013.
" Comme si devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde... "
Le texte de Camus, m'avait interpellé lorsque je l'ai lu pour la première fois. En découvrant ses mots dans la bande dessinée, j'ai retrouvé certaines de mes premières impressions...
Au delà de donner corps aux personnages, Ferrandez esquisse et dessine une ambiance méditerranéenne teintée par les souvenirs d'une époque révolue. Il fait chaud à Alger, et cette chaleur, cette moiteur transpire dans les pages. Plus que le personnage de Meursault, c'est la ville d'Alger ainsi figurée qui me reste en mémoire en refermant cette bande dessinée.


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