Italo Calvino, Édition du Seuil, 1996
Le città invisibili1972
« C'est le soir, nous sommes assis sur le grand escalier de ton palais, il souffle un peu de vent, répondit Marco. Quelque que soit le pays que mes paroles évoquent autour de toi, tu le verras d'un observatoire situé comme est le tien, même si à la place du palais impérial, il s'agit d'un village sur pilotis et si la brise apporte l'odeur d'un estuaire fangeux » .
« ...parce que le passé du voyageur change selon l'itinéraire parcouru... »
« L'ailleurs est un miroir en négatif. Le voyageur y reconnaît le peu qui lui appartient, et découvre ce qu'il n'a pas eu, et n'aura pas. »
Citations : pp.
35, 37, 38
Image :
Trieste, 25 novembre 2013
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