Titre original:
Road
to Perdition
Paru
en 1998.
Etonnée
de trouver cette bande dessinée dans le rayon enfant de la
bibliothèque municipale d'Angoulême, je la mets dans mon sac.
Max
Allan Collins en est le scénariste, et Richard Piers Rayner, le
dessinateur,
Etats-unis
dans les années Trente, la prohibition sévit, les mafias
s'enrichissent, et les gangs rivalisent. Un fils et son père,
vengeance et pardon. Bien que ces deux termes peuvent faire peur, la
morale n'est pas si pesante et tant mieux.
Un
scénario bien ciselé, net et tranchant, efficace. Une mise en
scène, guère surprenante, mais bien chapitrée, pas de couleurs. En
revanche un peu déçue par le dessin des personnages.
Et
maintenant, il me reste à voir l'adaptation qu'en a fait Sam Mendes
au cinéma, « Road to Perdition », sortie en 2002.